Jardin Politique

L'une des tâches principales de l'association JardinSuisse est de défendre les intérêts de la branche verte au niveau politique. Elle le fait notamment en prenant position dans les procédures de consultation fédérales.

Rendre possible la réussite économique

Nous défendons les intérêts de la branche verte sur la scène politique.

Déluge réglementaire

Le bulletin officiel du Parlement suisse s’enrichit de plus de 10’000 pages par an. La plupart des lois et ordonnances préparés par les offices fédéraux font l’objet d’une procédure de consultation. Grâce à un monitoring, JardinSuisse filtre les projets susceptibles d’avoir une influence sur la branche verte. Lorsqu’elles concernent les PME en général, l'Union suisse des arts et métiers (USAM) se charge de répondre aux consultations. Pour les sujets plus spécifiques à la branche verte, les consultations sont traitées par JardinSuisse, le cas échéant en faisant appel à des entrepreneurs membres de l’association ou à des experts externes.

En 2022, JardinSuisse a participé au total à cinq procédures de consultation. Celles-ci concernaient l'ordonnance sur la protection des eaux, le paquet d'ordonnances agricoles, la révision de la loi sur le CO2, l'ordonnance sur l'environnement et l'ordonnance sur l'assurance-accidents. Toutes les prises de position de l'association peuvent être consultées en ligne
 

Relais sous la coupole fédérale

Le réseau JardinPolitique, relais important pour JardinSuisse en matière de politique économique, est composé de personnalités siégeant au Conseil des États et au Conseil national. Il permet à l'association de faire valoir son point de vue directement auprès des parlementaires fédéraux. Grâce à ce réseau, JardinSuisse s’est notamment engagé pour défendre ses membres producteurs de plantes, en demandant qu'une lacune réglementaire soit comblée jusqu'à l'entrée en vigueur de la révision totale de la loi sur le CO2. En mai 2022, l'ordonnance révisée sur le CO2 est entrée en vigueur, de sorte que nos producteurs peuvent continuer à se faire exempter de la taxe sur le CO2 jusqu'à fin 2024. Il s'agit maintenant de garantir cette possibilité à partir de 2025 également.

La branche verte est soutenue par un grand nombre de personnalités politiques venues de tous les horizons tant géographiques que politiques.

Vers les politiciens